Ma puce,
Dans cette chambre, tu n’y as jamais dormi,
Elle était prête depuis longtemps, mais je n’ai jamais voulu te séparer de nous.
Pourtant, dans cette chambre, j’ai remis toutes tes petites affaires, tes jouets, tout ce qui t’appartient.
C’est un lieu où j’aime aller passer du temps pour me replonger dans mes souvenirs avec toi ma Lélé, les bons comme les mauvais, même si souvent je finis par pleurer car dans cette chambre, tu n’y es pas.
C’est une chambre vide
Ton lit qui était dans la salle, où j’ai remis tout ce que tu avais dans ton lit médical dernièrement.
Tes jouets préférés quand tu pouvais encore bouger (dont le tap-tap musical à droite reçu par Injéno à Noël).
Ta voiture, électrique, reçue à Noël dont tu n’as pas profiter longtemps, ton motilo et ton porteur dans lequel tu aimais te promener.
Les petits cadres avec les mots des clowns de rire médecin que tu aimais voir à l’IGR
IGR : mars 2009
Tes étagères remplies, de tes nounours, livres, carnet de santé, jouets…
Tout en haut le nounours et le coussin d’injeno reçus pour ton départ.
Ton peignoir, ta casquette et surtout ton bonnet fait par Mamie Gisèle et ton petit pull que tu portais très souvent pendant nos vacances en Bretagne l’année dernière, et où tu étais très épanouie.
Vacances en Bretagne en 2008
Mars 2009
Voilà la chambre dans laquelle tu aurais du dormir ma Lélé si la vie n’avait pas été aussi injuste envers toi ma puce.
Léane au Pays des Fées : je ne pensais pas à l’époque que ces quelques mots pour accompagner la décoration avec les petites fées prendrait tout son sens aujourd’hui
Je t’aime très fort ma puce
Maman
05/09/2014
Luc MASSON a écrit :
Gaëlle, Emmanuel, Je viens de relire ce billet écrit en 2009. Ce n'est pas si lointain et pourtant. Je mesure la poids de la peine que vous avez dû ressentir en passant chaque jour a côté de ce petit nid douillé, sans oisillon... Je suis de tout coeur avec vous aujourdhui. Avec mon éternelle affection. Luc Masson
Gaëlle, Emmanuel,
Je viens de relire ce billet écrit en 2009. Ce n’est pas si lointain et pourtant.
Je mesure la poids de la peine que vous avez dû ressentir en passant chaque jour a côté de ce petit nid douillé, sans oisillon…
Je suis de tout coeur avec vous aujourdhui.
Avec mon éternelle affection.
Luc Masson